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Katy LEES ép. JOHNSON-PAJE

Etat : Vivante.

Aventures :

Les 5 Supplices

DESCHANNEL Rose

170 cm / 61 kg

Nationalité : Française

Personnalité : Enthousiaste – La vie est une suite d’événements qui recèlent pour vous leur lot de satisfactions. Vous aimez être impliqué dans des histoires, aussi réagissez-vous en général avec promptitude lorsqu’on vous sollicite. Votre capacité à vous émerveiller de tout a l’art de vous attirer les foudres des grincheux et des insatisfaits, mais même cela vous réjouit.

 

Née à Paris le 16 Mai 1900, vous êtes la fille unique du Professeur Henri Deschanel. Votre mère est morte en couche et vous avez passé la plus grande partie de votre enfance à Rouen chez votre oncle et votre tante Victor et Bertille Sallier.

Les rapports avec votre père ont toujours été assez compliqués, ce dernier n’étant pas doué pour exprimer ses sentiments. Longtemps vous avez cru qu’il ne vous aimait pas et c’est pour le rendre fier de vous que vous avez travaillé comme une acharnée afin d’intégrer vous aussi les grandes écoles de médecine. Ainsi vous avez passé votre temps à étudier et au moment de l’adolescence, vous avez mis de côté la part insouciante qu’il existe chez chaque jeune femme afin de vous consacrer qu’aux études. Tous ces sacrifices ont finis par payer et en  1928 vous êtes sortie diplômée de la faculté de médecine de Paris avec les félicitations du Jury.

Malheureusement, et bien que sur les dernières années un dialogue avait commencé à naître entre vous et votre père, de part la passion et curiosité commune que vous partagiez, ce dernier ne pu voir l’aboutissement de ces années de labeur car il fut emporté en quelques mois par la tuberculose en 1927. Votre Père était un grand Professeur renommé de la Faculté de médecine de Paris et vous savez que le fait de porter son nom vous ouvre bien des portes.

 

De votre enfance à Rouen, vous gardez un merveilleux souvenir, Victor et Bertille étant à vos yeux vos véritables parents. Deux ans après votre naissance, Victor et Bertille ont eu une fille : Sarah. De part la situation, vous avez été élevées et vous vous considérées comme des sœurs. Vous étiez inséparables jusqu’à ce que vos études vous obligent à retourner vivre sur Paris en 1919.

Vous étiez un peu les opposées avec Sarah et ceci amusait beaucoup votre entourage : vous étiez la petite fille sage, calme et discrète, une vraie petite princesse ; Sarah elle était un vrai garçon manqué. Lorsque vous êtes partie étudier sur Paris, Sarah a suivie une autre voie. Ses envies de voyages l’ont amenée à partir aux quatre coins du monde. Lorsqu’elle revenait en France, elle ne manquait pas de venir vous voir et vous passiez alors de longues soirées à raconter vos histoires… Bon certes, celles de Sarah était bien plus pimentées que les vôtres, mais la fierté de votre réussite que les yeux de Sarah vous renvoyée vous donnait du baume au cœur.

 

Lors de votre dernière année d’études, juste après la mort de votre père, un événement s’est produit à l’Université. Alors que vous étiez à la recherche d’une salle de cours, vous vous êtes égarée dans les couloirs d’un des bâtiments de la faculté de médecine, vous retrouvant dans une aile abritant des laboratoires et des cultures expérimentales. A ces heures, personne ne travaillait ici, et pourtant vous aviez aperçu une silhouette dans l’une des officines. La curiosité vous guidant, vous êtes entrée dans la pièce. Un homme était penché sur un microscope. Devant lui, une table en carreaux de faïence était couverte de matériels divers : bec Bunsen, éprouvettes, flacons, etc… Autant qu’il en fallait pour conduire de véritables expériences. Non loin de là, une armoire de stockage des cultures était restée grande ouverte, ce qui était particulièrement imprudent. L’homme était seul, alors que la faculté interdit, par mesure de sécurité, que l’on réalise des expérimentations sans être accompagné d’un binôme.

Il s’agissait d’un étudiant japonais d’une trentaine d’années et au moment où il se rendit compte de votre présence, il était en train de placer une dernière éprouvette dans un coffret empli de glace qu’il referma rapidement. Surpris, il vous salua puis vous informa qu’il devait livrer ces échantillons au Dr Jarmon et qu’il avait l’autorisation du doyen. Il vous salua  et partit.

Vous n’étiez pas convaincu par ces explications mais vous ne saviez quoi faire. A peine l’étudiant japonais quitta la pièce que deux responsables de la faculté arrivèrent et vous accusèrent d’avoir mené des expérimentations sans autorisation et d’avoir dérobé des échantillons dangereux. Vous avez tenté d’expliquer ce qui c’était réellement passé mais ils mirent en doute votre parole.

L’affaire alla loin et vous vous êtes retrouvé devant le conseil de discipline et seul votre nom vous tira d’affaire, le président de la faculté fit en sorte que les accusations à votre égard soient oubliées et n’apparaissent pas dans votre dossier.

Vous avait appris quelques jours plus tard qu’un étudiant japonais ne se présentait plus aux cours, il s’appelait Shiro Ishii.

 

En Mai 1931, lors d’une conférence sur l’Anthropologie à laquelle vous aviez assisté, vous avez connaissance avec le maître de conférences, un anglais répondant au nom d’Edward Swanson. Votre charme ne l’a pas laissé indifférent et il a entreprit de vous faire la cour. Après avoir gardé contact par lettres pendant 2 mois, il a souhaité vous revoir. Il vous a invité fin août à Paris, ayant organisé une semaine de visites et réjouissances dans Paris par l’intermédiaire d’une de ses amies, une certaine Gillian Gogarty. Vous avez accepté l’invitation mais vous avez demandé si cela ne le dérangeait pas que vous soyez accompagnée de votre cousine. En effet vous venez d’apprendre que Sarah était de retour en France et vous voulez en profiter à maximum, vous allez avoir tant de choses à vous raconter !

Gillian a organisé notamment la visite de l’Exposition coloniale internationale qui se tient à Paris depuis le 6 mai, à la porte Dorée et sur le site du bois de Vincennes. « Venez accomplir le tour du monde en un jour » voilà le slogan de l’exposition. Y sont présentés les produits et réalisations de l'ensemble des colonies et des dépendances d'outre-mer de la France, ainsi que celles des principales puissances coloniales, à l'exception notable du Royaume-Uni. Tous ceci est présenté au sein de pavillons rappelant l'architecture de ces territoires, notamment d'Afrique noire, de Madagascar, d'Afrique du Nord, d'Indochine, de Syrie et du Liban.

Afin de clôturer cette semaine, vous avez des invitations pour une représentation d’ombres chinoises le samedi 29 août à 21h ainsi qu’une invitation pour une visite du pavillon chinois le lendemain.

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