
Etat : Vivante.
Aventures :
- Les 5 Supplices
CALLIER Sarah
174 cm / 62 kg
Nationalité : Française
Personnalité : Déterminée – Le moins qu’on puisse dire de vous, c’est qu’il n’est pas né celui qui vous fera renoncer. Vous n’êtes peut-être pas du genre à vous engager dans une entreprise sur un coup de tête, mais une fois impliqué, vous vous donnez à fond, avec toute la volonté et tous les moyens que vous pouvez mobiliser. Vous emportez souvent l’adhésion pour cette persévérance.
Née à Rouen le 09 Août 1902, vous êtes la fille de Victor et Bertille Callier.
Votre père est Procureur au Palais de Justice de Rouen et votre mère est femme au foyer.
Bien qu’officiellement fille unique, vous considérez avoir une sœur. En effet, vous avez grandit avec votre cousine Rose Deschannel. Sa mère étant morte en couche, vos parents l’ont pour ainsi dire élevée et deux ans après la naissance de Rose, vous êtes venue au monde : vous n’avez jamais été le seul enfant de la maison.
Vos rapports avec Rose ont toujours été fusionnels, même si vos caractères sont opposés. En effet, alors que Rose est timide, discrète et calme, une vraie princesse quoi, vous vous êtes un vrai garçon manqué, toujours à la recherche d’action et d’aventures. C’est pourquoi, alors que Rose passait son temps le nez plongé dans les livres de sciences, vous vous reveniez couverte de boue, les vêtements déchirés, pour le plus grand malheur de votre mère.
Vous avez fait la première partie de vos études avec rose, jusqu’à ce qu’elle retourne vivre chez son père afin d’intégrer la faculté de médecine de Paris en 1919. Vous étiez bonne élève, tout d’abord attirée par l’Anthropologie, vous avez ensuite orienté vos études vers le journalisme afin d’en sortir diplômée en 1922. Grâce aux relations de votre père, vous n’avez eut aucun mal à vous faire embaucher par le plus important journal de la ville. Tout d’abord simple chroniqueuse, vous êtes devenu par la suite l’un de ses correspondant à l’étranger, découvrant alors le goût des voyages et de l’aventure.
En 1928, contre l’avis de vos parents, vous avez décidé de quitter votre place au sein du journal afin de changer de voie : vous souhaitiez découvrir le monde. Bien que contre cette décision, vos parents se sont quand même rangés derrière vous, vous aidant de part leurs connaissances et relations à vous lancer dans cette nouvelle aventure de baroudeuse.
Vous avez réussit à vous faire financer un premier voyage en Afrique Orientale en 1929 et vous revenez tout juste d’un autre voyage de 7 mois celui-ci, en Inde.
Lors de votre parcours en Inde, il vous est arrivé un fait des plus étrange et terrifiant.
Alors que vous exploriez les sous-sols d’un ancien temple dans une région reculée de l’Inde, vous avanciez prudemment dans ce qui ressemblait à des catacombes, votre seule source de lumière étant une petite lampe. Vous espériez y découvrir une sculpture antique dont vos mécènes sont très friands. Le faisceau de votre lampe balayait les murs sombres et peina à percer les ténèbres lorsque tout à coup vous avez trébuché, glissant au bord d’un trou. Vous aviez alors laissé tomber la lampe au fond du trou, afin de pouvoir vous agripper au rebord. Cette dernière disparu et se fracassa après une vingtaine de secondes de chute.
Le noir absolu envahi alors les parages. Vous avez fouillé dans votre sac en aveugle pour retrouver les chandelles et les allumettes que vous aviez prudemment emportées. Tout à coup, vous avez perçut le bruit d’un frottement dans le trou. D’abord imperceptible, le frottement se fit de plus en plus insistant : quelque chose remontait le long de la paroi !
Précipitamment, vous avez réussit à craquer une allumette. Dès que la flamme jaillit, un cri retentit dans les catacombes tout proches. La seconde suivante, une ombre s’approcha et éteignit l’allumette, comme si elle craignait la lumière. Avec frénésie, vous avez craqué une autre allumette, elle se cassa sans s’allumer, puis une autre, et encore une autre, cette dernière s’alluma un court instant, juste le temps pour la clarté de projeter votre ombre sur le mur. Une ombre en profita pour y planter ses crocs et arracher un morceau de votre ombre ! C’est alors que vous avez enfin réussit à allumer une chandelle, ce qui provoqua le repli de l’ombre dans un coin ténébreux.
Vous avez ensuite décidé de rejoindre la sortie au plus vite ; vous vous saviez suivi par quelque chose qui se tenait à l’écart de la lueur de votre flamme. Une fois à la surface plus rien ne vous suivait.
Vous aviez mal à la cuisse et en regardant vous aviez vu les traces d’une morsure alors que rien ne vous avait mordu directement. Mais c’est le soir venu, dans votre chambre d’hôtel qu’une vision vous terrifia : L’ombre de votre cuisse était déchirée, comme s’il en manquait un morceau grand comme le poing !
Vous avez décidé d’écourter votre voyage et vous êtes entré en France. Vous avez prévenu Rose de votre retour, vous avez besoin de la voir. C’est alors qu’elle vous annonça qu’un anglais la courtisait, et qu’il l’avait invité à passer une semaine avec lui et une de ses amies à Paris, rose vous avez demandé alors si vous vouliez l’accompagner, chose que vous avez tout de suite acceptée. Vous retrouver toutes les deux vous fera le plus grand bien, et vous êtes curieuse de rencontrer ce fameux Edward.